Les députés ont demandé au gouvernement de promouvoir des changements juridiques et davantage de surveillance aux frontières devant les institutions communautaires.
Le Congrès des députés a demandé hier une “révision à la hausse” des “prix d'entrée” taxé sur les tomates arrivant du Maroc vers l'Union européenne (UNION EUROPÉENNE), pour freiner les pertes causées par ces importations aux agriculteurs espagnols.
La Commission de l'Agriculture, Approuvé par le Congrès sur l'alimentation et l'environnement, à l'unanimité, une proposition non de loi d'UPyD, traité avec le PP et avec le PSOE, dans lequel ils exigent un meilleur contrôle des expéditions marocaines de tomates.
Les députés ont demandé au gouvernement de promouvoir des changements juridiques dans les institutions communautaires et plus de surveillance aux frontières pour éviter “violations” des accords.
Le nouveau porte-parole de l'UPyD Agriculture au Congrès, le valencien Julio Lleonart, a souligné que “manque de vigilance” Il a généré “dégâts” dans les coffres de la communauté, pour ne pas facturer certains frais, et les agriculteurs espagnols pour “la perte de profits”, face à la concurrence des légumes qui arrivent du Maghreb à un prix trop bas.
Le Congrès a fait une référence particulière au mécanisme de “prix d'entrée”, selon lequel lorsque les envois de tomates arrivent en dessous d'un certain prix, une taxe est appliquée.
La commission parlementaire a défendu une révision à la hausse dudit prix, puisque les conditions de production végétale ont été modifiées.
Tant que ce changement ne se produit pas, les députés ont demandé une taxe différenciée pour les tomates “rond lisse” et un autre pour la variété “Cerise”, puisque les coûts de production divergent.
Les députés ont demandé au gouvernement de soulever auprès des institutions de l'UE la nécessité de disposer de données détaillées sur les droits de douane payés.
Le Congrès a préconisé, De plus,, pour continuer avec le “initiatives” et alliances” qui ont permis d'améliorer le régime des prix d'entrée des fruits et légumes.
Ils ont également demandé “information complète” d'étudier si des accords tels que l'association entre l'UE et le Maroc ne sont violés que dans ce cas ou dans d'autres domaines commerciaux.
Lleonart a insisté sur l'augmentation massive des ventes marocaines, contre la réduction des exportations espagnoles.
Le député d'Almeria du PP Jesús Caicedo a confié que cette initiative contribuera à résoudre un problème important pour le secteur des fruits et légumes.
De la part du PSOE, Consuelo Rumí d'Almeria a souligné le “concurrence déloyale” de la tomate marocaine vendue à bas prix, par rapport aux productions espagnoles à forte “normes de travail et de qualité”.
Le porte-parole d'Izquierda Plural, Alvaro Sanz, a critiqué l'envoi de tomates par le Maroc “territoires sahraouis occupés” contrevenant aux normes internationales.